RP : Hannibal, l'âme torturée [Darkombre]

Maintenant, Hannibal n'avait aucun doute sur sa victoire contre ces ivrognes. Même s'il évitait d'être trop sur de lui, étant donné que la vigilance était une arme indispensable. Il se plaça près des cadavres, essayant de se faufiler entre les tables pour rendre plus difficile les tentatives que ses ennemis pourraient faire pour l'encercler, et essayer de ne les combattre qu'un par un ou deux par deux.

Hannibal: Votre douleur sera pire que la mienne.

En prononçant ces paroles il frappa trois ennemis différents de son arme.

Trois ivrognes furent abattu dans un flot de sang. Oncle Jim en abat lui aussi trois autres avec son kriss. Hannibal n'esquiva que la moitié des coups de ses adversaires (2 dmg). D'autres ivrognes accourent, vidant leurs bouteilles avant de les lancer sur Hannibal. Certains arrivent même juste après s'être noyés dans un tonneau.

Hic, sus au traître !

Ivrognes x20 :

PA = 15
PV = 30
Armure = 0
Force = 2
Résistance magique = 30

Hannibal :

Niveau = 10
XP = 3461
PA = 81
PV = 145
Armure = 9 (99)
Force = 21 (71 dmg)(31-71 dmg)

Oncle Jim :

Niveau = 14
XP = 7703
PA = 107
PV = 96
Armure = 12 (112)
Force = 13 (39 dmg)(88-113 dmg)
Résistance magique = 30

Toujours plus d'ennemis. Heureusement qu'ils étaient faibles. Continuant son carnage avec ferveur, Hannibal frappa trois ivrognes au hasard, prenant juste soin de tenter d'esquiver au maximum les coups ennemis.

Hannibal: D'AUTRES CHAROGNES A DEVORER!

Au fur et à mesure qu'il combattait, une frénésie s'emparait de lui, il commençait à crier et à se déchainer.

Six skullbowsers passèrent de vie à trépas en moins d'une fraction de seconde. Hannibal reçu une dizaine de coups de poings, il ne les comptait même plus à vrai dire. Ce qui le concentrait était plutôt la foule d'ivrognes grossissante.

Pour la bière !

Ivrognes x26 :

PA = 15
PV = 30
Armure = 0
Force = 2
Résistance magique = 30

Hannibal :

Niveau = 10
XP = 3983
PA = 81
PV = 135
Armure = 9 (99)
Force = 21 (71 dmg)(31-71 dmg)

Oncle Jim :

Niveau = 14
XP = 7703
PA = 107
PV = 96
Armure = 12 (112)
Force = 13 (39 dmg)(88-113 dmg)
Résistance magique = 30

Apparemment, ils étaient tous plus saouls les uns que les autres, et la plupart combattaient juste pour faire comme les autres, ou parce qu'ils ne réfléchissaient plus à leurs actions. Mais de toutes façons il n'y avait pas le choix, ils devaient mourir, ou ils le tueraient. Et son destin lui importait plus que la vie de quelques alcooliques désagréables.

Hannibal: Que ceux qui tiennent à la vie partent d'ici, ils seront épargnés. Les autres, aussi pathétiques que vous soyez, vous mourrez si vous approchez.

Et il frappa trois de ces ivrognes.

La foule était tellement compacte qu'Hannibal ne vît pas bien les importants dégâts que nos deux héros effectuaient. Cependant il pouvait voir la quantité de sang qui jonchait le sol. Sous son avertissement, la bagarre commença à se dissiper, et six mages skullbowsers qui n'avaient rien compris chargèrent Hannibal.

Une dernière pour la route !

Mage saoul x6 :

PA = 30
PV = 30
Armure = 10
Force = 15
Résistance magique = 30

Hannibal :

Niveau = 11
XP = 5027
PA = 81
PV = 119
Armure = 11 (101)
Force = 25 (75 dmg)(35-75 dmg)

Oncle Jim :

Niveau = 14
XP = 7703
PA = 107
PV = 96
Armure = 12 (112)
Force = 13 (39 dmg)(88-113 dmg)
Résistance magique = 30

Les six mages saouls furent abattu de la même manière que leurs prédécesseurs. A peine la bataille dans la taverne terminée, un messager se précipita en direction de nos deux héros et leur annonça qu'ils étaient convoqués par Médabowser une fois encore. Hannibal suivit Oncle Jim à travers la capitale et rentra dans la grande tour de cristal. Ils prirent l'ascenseur et montèrent au dernier étage. Tout un comité de généraux se tenaient assis autour d'une table, finissant de préparer leur stratégie pour la prochaine guerre, puis Médabowser leurs fit signe que la séance était levée et ils partirent tous de la salle.

Médabowser : Les nouvelles sont elles bonnes ?

D'abord, Hannibal espérait que Médabowser ne lui en voudrait pas d'avoir massacré les ivrognes à la taverne. Ils n'étaient sans doute pas d'une grande utilité pour lui, de toutes façons, mais au niveau diplomatique, repeindre une taverne du pays avec le sang d'une trentaine de skullbowsers n'était peut-être pas la meilleure chose à faire. Enfin, c'était fait, et Jim l'y avait aidé, Jim qui était respecté par Médabowser, et, apparemment, une personnalité importante de la nation. Sans doute il savait déjà ce qui s'était passé, mais dans tous les cas, autant éviter d'en faire mention.

Hannibal: Et bien, nous avons les montures, les armes et armures nécessaires à notre voyage.

Médabowser : Il y a un léger changement au programme. Tu va devoir rentrer chez toi car je ne te fais pas suffisamment confiance, après tout tu n'es pas un ambassadeur du chaos. Je respecte ton choix de vivre dans l'ignorance de ta religion et je n'exige qu'une seule chose en retour : ton départ !

Médabowser fît une courte pause et repris :

Médabowser : Bien entendu tu gardes l'équipement qui devait servir à ta mission et Oncle Jim t'accompagnera jusqu'au compté de Smolk. Après, il devra partir pour s'acquitter d'une mission.

Une fois sorti à l'extérieur de la tour Oncle Jim s'adressa à Hannibal :

Oncle Jim : Désolé mais je crois que tu ne plais pas à mon maître, je vais te raccompagner jusqu'à la frontière ouest, nous pourrons discuter en chemin sur ce que tu comptes faire...

Le voyage qu'il avait accompli pour rencontrer Médabowser n'avait incontestablement pas été de tout repos, et Hannibal était plutôt déçu de la réponse. Ceci dit, il semblait que la décision de Médabowser était justifiée, par des raisons encore peu claires pour le moment. Au moins, Hannibal était toujours en vie, et équipé. Et libre. La vie, la liberté, et tout ce qu'il fallait pour survivre. C'était, après tout, déjà beaucoup. Sans compter l'expérience acquise pendant le voyage. Mais, malgré tout, il cherchait à comprendre. A comprendre la décision de Médabowser, toute cette histoire de religion? D'ambassadeur du chaos? Visiblement, Médabowser n'en avait rien à faire des alcooliques tués lors du dernier combat. Mais quelque chose d'autre le fâchait.

Après un silence, Hannibal s'adressa à Jim.

Hannibal: Aurais-je provoqué la colère de Médabowser?

Oncle Jim : Si tu avais provoqué sa colère, tu ne serais déjà plus de ce monde. C'est autre chose, tu l'as déçu car il s'attendait à faire de toi un champion du chaos. Ici, notre religion est la guerre, et visiblement tu n'es pas quelqu'un de très provocateur. Je ne veux pas dire par là que tu es faible, mais tu es trop différent de nous pour pouvoir nous aider. Médabowser a besoin de gens disons ... beaucoup plus sadomaso ...

Oncle Jim dit cela à Hannibal tout en marchant à travers la ville. Une ville qu'Hannibal allait devoir quitter, parce qu'une fois encore on ne voulait pas de lui. Cependant Oncle Jim resterait son ami.

Oncle Jim : Tu sais, si ça ne tenait qu'à moi je t'accompagnerais jusqu'à la forteresse de Magyar en personne ! Mais je dois accomplir une mission dangereuse avec la sorcière. Je ne doutes pas que tu trouvera du travail en chemin ou dans ton pays natal, tu en as la volonté.

Ensemble ils sortirent de la ville et admirèrent la grande cité une dernière fois. Il faisait déjà nuit et milles feux brillaient dans le noir alors que nos deux compagnons s'enfonçaient à travers les terres arides de l'empire de Médabowser. Aucune eau, aucune végétation ... comme sur une autre planète.

Nos deux héros décidèrent de passer la nuit dans le creux d'une niche rocheuse à la belle étoile. Après avoir installé leur modeste petit campement Oncle Jim s'adressa à Hannibal.

Oncle Jim : Quand nous serons arrivés à la frontière nous aurons quelques problèmes. Je ne t'en ai pas parlé tout de suite pour te faire digérer ta prise de congé mais je dois te prévenir : l'empire est en guerre contre Smolk et des millions de troupes bataillent déjà. Je pense qu'il faudra que tu te frayes un passage en faisant attention aux tirs des deux camps. Et aussi, il ne faudra pas que tu t'attardes à étriper tout ceux qui se mettent devant ta route. Les skullbowsers agissent ainsi, mais ils ne tiennent pas à la vie, seule la violence compte et ils le payent de leur vie. J'espère donc que tu écoutera mon conseil, si tu es vraiment si différent de nous.

Les skullbowsers étaient donc un peuple encore plus étrange que Hannibal ne l'aurait jamais pensé. L'individu dans cette société n'était rien qu'un petit énergumène à la rage aussi grande que sa vie et sa taille est petite. Un peuple qui n'existe toujours que part sa natalité complètement démesurée, et de part leurs terribles armes, créées avec des technologies qu'Hannibal n'aurait même pas pu imaginer.

Effectivement, Hannibal avait d'autres objectifs que ceux des skullbowsers, même si ces objectifs n'étaient pas encore si bien définis dans son esprit. Combattre, tuer, ça ne l'effrayait pas. La peur, il ne la ressentait pas, ou alors il l'oubliait: on combat mieux quand on a pas peur. Mais malgré tout, massacrer tout ce qui bougeait, ça ne correspondait pas à Hannibal. Il aurait des scrupules à tuer quelqu'un qui ne le gênait pas, et qui ne lui avait rien fait de mal. Quelqu'un qui se mettait en travers de son chemin, peu importait. Quelqu'un qui méritait de mourir, peu importait aussi. Hannibal jugeait très vite (et peut être trop sévèrement) une grande partie des gens qu'il croisait. Mais, pour lui, un être pacifique et amical, n'avait pas à être tué. Chacun pouvait, selon lui, choisir de vivre comme il voulait. Lui, il vivait pour se battre, pas vraiment pour une cause précise, il n'en trouvait apparemment pas, mais, pour lui. Pour devenir plus puissant, pour acquérir une réputation peut être, ou simplement parce que c'était comme ça.

Et d'ailleurs, un combat, de grande envergure, semblait se profiler à l'horizon. Dans un avenir proche, il allait à nouveau frapper, se défendre, attaquer, et, il l'espérait, survivre et avancer vers l'avenir, vers son destin, s'il en avait un.

Hannibal: Merci pour tout, oncle Jim. Ne vous inquiétez pas, quoi qu'il arrive, je me battrai jusqu'à mon dernier souffle. J'espère qu'un jour ou l'autre, nos chemins se recroiseront.

Nos protagonistes firent un feu et mangèrent de délicieuses saucisses de sanglier. Une fois leur panse bien remplie, ils s'endormirent sous les étoiles. Après une bonne nuit de sommeil, Hannibal et Oncle Jim reprirent leur route vers l'ouest.

Une semaine passa et ils arrivèrent près de leur destination, la dernière ville de l'empire du pont juste avant la frontière. Hannibal remarqua qu'un nombre incalculable de soldats armés jusqu'aux dents affluaient vers l'ouest. A l'horizon on voyait d'ailleurs que la bataille était déjà engagée : un spectacle avant tout lumineux. Il y avait également des aéronefs qui sillonnaient le ciel, mais surtout, Hannibal fût intrigué par les étranges véhicules qui passaient sous ses yeux. En effet, son pays natal ne connaissait pas les "tanks" et le fait d'en voir était pour lui comme un prodige.

Oncle Jim amena Hannibal plus profondément dans la ville, loin des larges avenues empruntées par les militaires. Ils passèrent près d'un temple du chaos et s'arrêtèrent non loin de là sur une place qui servait de marché. Oncle Jim s'adressa ensuite à Hannibal.

Oncle Jim : Tiens, voilà 500 pièces d'or pour t'acheter ce que tu veux. Mais si tu veux un bon conseil, commence par t'habiller un peu plus convenablement, tu ressembles à un vagabond. Cependant il faudra que tu conserves quand même de l'or afin de t'acheter une monture et un véhicule.

Hannibal remarqua alors pour la première fois l'importance de son apparence aux yeux des autres en voyant qu'Oncle Jim était sapé comme un prince alors qu'Hannibal lui ressemblait en effet à un vagabond. Ses vêtements étaient tâchés du sang séché de ses ennemis et il n'avait pas pris la peine de les laver.

Oncle Jim indiqua à Hannibal un stand où l'on vendait des vêtements, un autre où l'on vendait des montures et enfin un garage où l'on pouvait se procurer un véhicule ainsi qu'un équipage. Puis Oncle Jim donna une claque amicale à Hannibal et lui fît ses adieux.

Oncle Jim : Tu n'aura qu'à demander le prix aux différents marchands que je t'ai indiqué pour savoir ce qu'ils vendent et à quel prix. Avant de nous séparer, je tiens juste à te remercier et à te donner un dernier conseil, fais bien attention à toi.

Après avoir fait ses adieux à l'oncle Jim, Hannibal décida de suivre ses conseils et, tout d'abord, de s'acheter quelques vêtements. S'il se rendait au magasin de monture et au garage bien habillé, il aurait, peut être, une chance d'avoir une réduction sur les prix.

Après s'être approché du stand, il commença à jeter un coup d'oeil aux différents vêtements entreposés.

Hannibal: Hm...

Un skullbowser très étrange, avec des moustaches longues et bouclées vers le haut se mit à parler :

Mario Armani : Ma que, yo m'appelle Mario Armani et yé vend lé meillors textiles, vafenculo pizza pepperoni !

Toujours avec son accent très étrange il continue :

Mario Armani : Qué désiré vous ? Quatro fromagio de bonne facture ? Quatro fromagio en satin ? Et oui ! Ou bien Quatro fromagio en cuir ou en velours ... ma que, vous choisissez et ye donne prix !

Le vendeur avait incontestablement l'air de très bien connaître son domaine. La précision des termes techniques aurait presque déstabilisé Hannibal.

Après quelques secondes de réflexion:
Hannibal: Velours. Et, pour le pantalon, cuir. Quels sont les prix?

Il croisa les bras. Les articles semblaient, effectivement, de bonne qualité.

Mario Armani : Ma que ça fera 100 pièces d'or, mais c'est un bon prix bene bene giorgio armani !

Hannibal avait quelques préjugés concernant la sincérité des gens, mais il ne s'était pas beaucoup intéressé, au cours de sa vie, aux prix du textile. Il faudrait donc croire le vendeur sur parole. Et puis, il lui restait encore pas mal d'argent pour acheter un véhicule et une monture.

Hannibal: Très bien.

Et il tendit une centaine de pièces d'or au vendeur.

Après avoir revêtu en vitesse ses nouveaux habits, Hannibal se dirigea d'un pas assuré vers l'enclos et contempla les différents animaux. Tous avaient fière allure, et le choix était difficile. Il lui semblait que parmi toutes ces créatures, la panthère serait certainement la plus rapide, en plus d'être très utile au combat.

Hannibal: Combien coûte cette panthère?

Mais bon, même s'il avait les moyens de l'acheter, un problème se posait encore: combien de temps cela prendrait t-il avant qu'elle l'accepte pour cavalier? Si elle pouvait s'avérer un atout précieux lors de ses voyages, il serait cependant catastrophique qu'elle se fâche contre lui. Une panthère énervée lui paraissait plus difficile à calmer qu'un cheval ou un lézard mécontent.

Le vendeur : Je crains qu'elle soit chère même pour un homme de votre prestance monseigneur. Voyez vous cette panthère possède un don spécial : elle est très très intelligente et docile. En plus de toutes ces qualités que je viens de vous évoquer, elle est très loyale et s'attache facilement. Pour une affaire c'est une affaire mais elle a un prix et il est élevé, mais il s'agit de mon meilleur article. 300 pièces d'or pour Gwenarra, car tel est son nom !

Hannibal posa sa main sur son visage et réfléchit. Dépenser 300 pièces d'or réduirait considérablement ses réserves d'argent. Cependant, cette panthère serait, connaissant en plus les qualités que le vendeur venait d'énumérer, utile, voire indispensable, pour le voyage qui se préparait.

Hannibal: Il semblerait qu'elle vaille son prix. Je vous l'achète.

Et il tendit d'un air décidé les 300 pièces d'or au vendeur. Il emmena Gwenarra hors de l'enclos, s'agenouilla et lui caressa la tête. Elle comprit, apparemment, qu'elle serait sa monture, et son alliée, pour les aventures à venir. Et pour commencer, elle prit Hannibal sur son dos et, après qu'il lui ait précisé la destination, elle l'emmena vers le garage. Elle connaissait, semblait-il, le chemin.

Le marchand de montures étant satisfait, il retourna s'occuper de ses bêtes.

Quand Hannibal arriva devant le garage, il entendit un immense vacarme comme si de la vaisselle se fracassait par terre. Un skullbowser, qui semblait être le propriétaire de ce bazar poussait d'énormes jurons.

Le garagiste : Bande de petits salopards, je vous déteste !

Dans toute cette confusion, on entendait des petits cris de joie et le garagiste n'eut que pour seule réponse un vacarme encore plus épouvantable d'objets brisés.

Ayant sans doutes remarqué l'arrivée d'un potentiel client, le garagiste sorti en trombe de son établissement. Il avait le visage recouvert de crasse ce qui ne l'empêchait pas d'être cramoisi de colère. Il sembla se calmer un peu pour s'adresser à Hannibal avec toute la contenance qui était possible au vu de son état de rage.

Le garagiste : Vous désirez ?

Un peu surpris par tout ce qu'il venait d'entendre, Hannibal garda son calme. Peut-être ce genre de scènes étaient elles fréquentes chez les skullbowsers? Il ne devait pas l'oublier, il n'avait pas leurs coutumes ni leur état d'esprit, comme lui avaient expliqué Jim et Médabowser. Il allait donc, à moins d'être directement concerné, faire comme si de rien n'était.

Hannibal: Je compte faire un long voyage prochainement. Je voudrais un véhicule qui puisse m'y aider. Avez-vous des tanks? Il faut qu'il puisse accueillir à la fois moi et la panthère que vous voyez à côté de moi, et, bien évidemment, qu'il soit bien armé. Quels sont vos prix?